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Le bon peuple de ce pays s’imagine peu que les maux depuis longtemps prédits par les ennemis de nos institutions, sont maintenant imminents parmi nous, et que la grande expérience d’un gouvernement populaire est sur le point de manquer, au moment même où l’on s’exalte sur le succès. « Dès que la Pomme de terre a acquis 3 à 4 pouces, disait Parmentier, il faut la sarcler à la main ; et quand elle est sur le point de fleurir, on la butte avec la houe, ou en faisant entrer dans les raies vides une petite charrue qui renverse la terre de droite et de gauche et rechausse le pied : souvent une première façon dispense de la seconde quand le terrain trop aride ne favorise pas la végétation des herbes étrangères et que l’année est sèche et brûlante ; il faut, dans ce cas, borner les travaux de culture à une simple surcharge. C’est une façon économique, très expéditive, et propre à détruire les plantes annuelles. Cette habitude est essentiellement mauvaise ; en opérant de cette façon on économise le plant, il est vrai, mais on diminue dans une importante mesure le rendement à l’hectare. À la vérité les jeunes pousses souffrent souvent de la gelée blanche, mais cela ne nuit pas à la plante ; les mêmes tiges continuent à pousser ou il en vient d’autres, et, dans tous les cas, les tubercules, en partie formés avant les fortes chaleurs, mûrissent convenablement »

J’ai entendu moi-même des vérificateurs dire : Un tel homme est riche, il a le moyen de payer ; et tel homme est pauvre, il ne faut pas être exigeant. Si le bropriétaire avait le droit de fenir prendre autant de boulets qu’il lui blaît, et aussi soufent qu’il lui blaît, alors cela ressembler à un droit féodal ; mais si le bail dit que tel nombre de boulets sera payé par an pour la rente, c’être même chose que payer tant d’archent et il bourrait être plus facile pour le tenancier de payer en boulets que de payer en monnaie. Comment poufoir être arisdograte, alors ? « Dans le Canton que j’habite, personne avant moi n’avait cultivé la Pomme de terre en grand ; elles n’y étaient pas inconnues, mais quelques carrés destinés à cette plante, choisis près des habitations et labourés à la bêche, n’étaient pas des données pour une culture étendue ». Il y a de fortes raisons pour que mon oncle et moi nous ne soyons pas reconnus pendant quelques jours. Si nous avions pu confier à quelqu’un notre secret, nous eussions certainement été mieux traités ; mais mon oncle jugea qu’il serait prudent de maintenir le plus strict incognito, jusqu’à ce qu’il eût reconnu le véritable état des choses

Magne donnait les conseils suivants : « Il faut attendre, pour arracher la Pomme de terre, que la fane soit flétrie, en partie desséchée ; la fécule en est alors formée, et les tubercules, fermes au centre, possèdent toutes les qualités qu’on en peut espérer ; tandis que si on les tire avant leur maturité, ils sont aqueux au milieu, peu sapides et nourrissants. Quel que soit au reste l’outil que l’on emploie, il faut enlever chaque pied avec le plus de terre possible, afin d’avoir tout à la fois la plus grande partie des tubercules ; on brise la motte, et des femmes ou des enfants ramassent les Pommes de terre ; on donne encore deux ou trois coups de bêche ou de houe pour reprendre les tubercules échappés la première fois ». Si la masse offrait des signes de fermentation, il faudrait séparer immédiatement les Pommes de terre altérées »

L’odorat de la bête est si développé qu’il repère les truffes de très loin, et n’a plus qu’à fouiller le sol avec son groin Truffle pour la chasse la déterrer ! Le vrai dressage, avec un cochon consiste plutôt à l’empêcher de manger les truffes ! Le cochon passe ses journées à gambader dans l’herbe en se goinfrant de glands de chêne… Par contre, pas sûr que ça soit un cochon truffier, on ne peut pas être bon partout ! Il n’est pas surprenant qu’un tel pays soit peu productif ; il pourroit le devenir si on rendoit l’air plus salubre, en desséchant les relaissées d’eau qui se corrompent pendant l’été, & en profitant de ces eaux pour en remplir des canaux : alors les productions auroient un débouché facile, ou du côté de Dax & espèces de truffes Bayonne, ou du côté opposé par Bordeaux. Dans l’entre-deux-guerres, le train qui circule sur la ligne de Bordeaux à Aurillac est surnommé… Les chiens utilisent en très grande partie leur odorat pour explorer leur environnement, ce qui fait de la truffe un organe très important dans son comportement et parfois en première ligne face à des agressions extérieures

Mais tout cela était resté obscur et mystérieux, et nous en étions réduits aux conjectures alors que nous approchions du dix-neuvième siècle, de même que nos pères l’étaient au milieu du dix-huitième. Voilà Joah Brigham qui est parti aux moutons ; il obtiendrait plus de votes pour un emploi quelconque dans le comté, que le jeune Littlepage. Voilà pourquoi certains maîtres s'inquiètent lorsque leur animal a la truffe sèche. M. Howard ſe trouvoit préciſément à Paris, lorsque je publiai mon procédé pour faire le pain de pomme de terre ſans mélange de farine. Il y a cent ans, lorsque ce chêne était petit, tribu d’Indgiens était quelque chose, aujourd’hui rien. Je ne veux pas d’Indgiens ici. Non ; Kitty n’est pas fière, mais je n’aimerais pas à la voir assidue là-bas. Peut-être ces Littlepage ne pas être si gros arisdogrates que fous supposez. Quelle être plus riche, Obordunité ou Mary